FORMATION ET PROMOTION PROFESSIONNELLE

Formation et développement des compétences des professionnels non médicaux

La direction des ressources humaines et du développement des compétences, soucieuse de la qualité des nombreux professionnel·les qui interviennent dans la prise en soins du·de la patient·e, a engagé une politique sociale et de développement des ressources humaines qui s’appuie notamment sur un plan de formation collectif et individuel.

Ce plan de formation, véritable outil de développement des compétences et levier essentiel permettant d’appuyer la mise en œuvre du projet d’établissement, s’appuie sur :

  • Les besoins individuels de formation des professionnels
  • Les besoins des pôles d’activités
  • Les besoins institutionnels

En 2020, 1 326 départs en formation ont été enregistrés, 643 agents ont été formés et il y a eu 12 départs pour les formations promotionnelles suivantes :

  • Cadres de santé (4)
  • Aide-soignant (1)
  • Assistant de service social (1)
  • Infirmier en pratique avancée (5)
  • Moniteur éducateur (1)

Afin de répondre au plus près des besoins et d’encourager le développement continu des compétences, une conseillère en évolution professionnelle et formation continue accompagne spécifiquement le développement des carrières professionnelles des agent·es de l’établissement en mobilisant l’ensemble des différents dispositifs individuels de formation :

  • Le bilan de compétences
  • La validation des acquis de l’expérience (V.A.E)
  • Le congé de formation professionnelle (CFP)
  • Les études promotionnelles
  • Le compte personnel de formation (CPF)

Formation et développement des compétences des professionnels médicaux

Outre les évolutions de carrière et les changements de statut, le CH de Thuir offre au corps médical la possibilité de réaliser un parcours professionnel riche et diversifié et, de répondre à leur obligation de Développement Professionnel Continu (DPC).

Dans ce cadre, le centre de formation de l’établissement facilite la réalisation de cette obligation. Ces programmes sont financés à hauteur de 0,75 % de la masse salariale médicale.